Nous avons analysé l'utilisation de la liaison dans notre corpus qui contient des données du corpus d'Orléans. Nous avons comparé son utilisation en analysant des données venant de deux époques...Show moreNous avons analysé l'utilisation de la liaison dans notre corpus qui contient des données du corpus d'Orléans. Nous avons comparé son utilisation en analysant des données venant de deux époques différentes. La liaison a été faite dans la grande majorité des cas dans les deux époques mais il est probable qu'il y a une différence entre les deux époques. De plus, nous avons analysé des segments de certains locuteurs.Show less
Pendant l’adolescence il y a beaucoup d’insécurités qui peuvent influencer le fonctionnement à l’école. L’anxiété langagière parmi les élèves de l’enseignement secondaire a un effet sur les...Show morePendant l’adolescence il y a beaucoup d’insécurités qui peuvent influencer le fonctionnement à l’école. L’anxiété langagière parmi les élèves de l’enseignement secondaire a un effet sur les performances scolaires. Il existe peu de recherches expérimentales qui examinent le rôle l’anxiété joue dans l’apprentissage du français comme langue étrangère parmi des adolescents. Le but de cette étude est de recueillir plus d’informations en ce qui concerne la relation entre l’anxiété langagière et les performances. Les participants, qui avaient entre 16 et 19 ans (M = 17.22), ont rempli deux questionnaires : le test de la taille du vocabulaire (TTV) et le Foreign Language Classroom Anxiety Scale (FLCAS). Basé sur une corrélation de Spearman et un ANOVA à un facteur, nos données montrent que les adolescents qui souffrent plus de l’anxiété langagière ont un vocabulaire plus approfondi que les adolescents qui souffrent moins de l’anxiété langagière. Cette recherche donne un nouvel aperçu qui peut être applicable dans l’enseignement des langues étrangères. Plus de recherches sont nécessaires concernant la relation entre l’anxiété langagière et l’apprentissage du français. Il faut que les recherches ultérieures fassent usage d’un échantillon plus grand avec une distribution plus égale du sexe et de la classe des participants.Show less
Ce mémoire examine l'importance de la langue bretonne par rapport à l'identité bretonne. Nous avons choisi de mener une enquête de 23 questions auprès de 140 participants, dont les réponses nous...Show moreCe mémoire examine l'importance de la langue bretonne par rapport à l'identité bretonne. Nous avons choisi de mener une enquête de 23 questions auprès de 140 participants, dont les réponses nous permettent de comprendre le lien entre la langue et l’identité.Show less
Nous n’avons pas pu constater une évolution dans l’emploi du subjonctif en français standard pendant les deux siècles et il n’est pas question de variabilité du subjonctif. En québécois, le...Show moreNous n’avons pas pu constater une évolution dans l’emploi du subjonctif en français standard pendant les deux siècles et il n’est pas question de variabilité du subjonctif. En québécois, le subjonctif est un vestige du passé, qui s’utilise seulement après quelques gouverneurs (non) verbaux ou après quelques expressions fixes. A côté de l’emploi du subjonctif après ces gouverneurs et expressions, le subjonctif s’emploie presque jamais en québécois, surtout pas dans les phrases où il est question d’une grande distance. En français standard, par contre, l’emploi du subjonctif est stable. Les francophones français emploient spontanément le subjonctif en accord avec la grammaire prescriptive. En parlant des différences dans l’emploi du subjonctif entre le français québécois et le français standard, nous pouvons conclure que le subjonctif est un phénomène intrinsèquement variable en français québécois, tandis que le subjonctif ne l’est pas en français standard.Show less
Un peu et pas beaucoup sont deux expressions de quantité qui, à première vue, se ressemblent beaucoup. Certains gens n’y voient aucune différence de sorte qu’on pourrait même aller jusqu’à affirmer...Show moreUn peu et pas beaucoup sont deux expressions de quantité qui, à première vue, se ressemblent beaucoup. Certains gens n’y voient aucune différence de sorte qu’on pourrait même aller jusqu’à affirmer que ce sont des synonymes. En nous basant sur une étude de Ducrot, nous avons voulu démontrer qu’il y existe quand-même des différences, notamment quant au comportement de ces expressions. Dans la littérature qui se rapporte à ce sujet, nous avons remarqué que les domaines linguistiques de la sémantique et de la pragmatique se chevauchent, ce qui complique souvent une bonne compréhension des phénomènes qui y sont décrits. C’est pourquoi nous avons choisi de séparer ces domaines dans deux chapitres différents.Show less
L’objectif de ce mémoire est de savoir ce qui est connu dans la littérature sur les difficultés linguistiques des enfants dyslexiques néerlandophones qui apprennent l’orthographe du français. Nous...Show moreL’objectif de ce mémoire est de savoir ce qui est connu dans la littérature sur les difficultés linguistiques des enfants dyslexiques néerlandophones qui apprennent l’orthographe du français. Nous avons examiné les différentes facteurs qui mènent à des fautes d’orthographe: le codage phonologique, les problèmes des séquences homophoniques, la mémoire visuo-orthographique et les autres facteurs comme la sémantique et la morphologie. Nous avons pu trouver des informations générales sur les difficultés des enfants dyslexiques et non dyslexiques. D’abord, l’opacité du français entraîne une complexité au niveau phonologique. Le grand nombre d’homonymes affecte aussi l’apprentissage de la lecture chez les enfants français : Koopman et Van Berkel n’observent que de petites différences dans les types de fautes chez les enfants néerlandophones, mais les enfants dyslexiques font plus de fautes et ils continuent à faire des fautes de base. Les enfants ont des difficultés de codage phonologique au début, mais tous les enfants semblent surmonter ce problème. Les problèmes visuo-orthographiques sont comparables pour les deux groupes, mais ils semblent être plus tenaces pour les enfants dyslexiques. Ici semble se trouver la différence la plus importante entre les dyslexiques et les non dyslexiques. De plus, la littérature montre que les enfants dyslexiques sont très forts dans l’apprentissage des règles (grammaticales) explicites. Quant à l’enseignement du français, une instruction spécialisée qui met l’accent sur les rapports entre les sons et les lettres et sur les règles d’orthographe de manière explicite montre des effets positifs pour tous les enfants.Show less
Pour pouvoir communiquer correctement dans une langue, les apprenants du français langue étrangère utilisent le plus souvent des manuels scolaires ou des ouvrages qui nous décrivent les règles...Show morePour pouvoir communiquer correctement dans une langue, les apprenants du français langue étrangère utilisent le plus souvent des manuels scolaires ou des ouvrages qui nous décrivent les règles de grammaire. Un néerlandophone apprenant la langue française est exposé aux différentes compétences linguistiques de la langue française telle que l’expression écrite, la compréhension orale, l’expression orale et la compréhension écrite. Au cours de l’apprentissage de ces compétences linguistiques, il est indispensable de tenir compte de la grammaire française.Un aspect de la grammaire souvent discuté est la formulation des questions partielles en français là où le néerlandais diffère beaucoup du français. Le néerlandais ne dispose que d’une seule structure pour la formation des questions partielles tandis que le français en compte plusieurs. C’est dans ce contexte qu’il est intéressant de savoir comment les jeunes élèves néerlandophones apprennent à formuler ces questions en français et surtout à observer l’effet du manuel scolaire.Show less