Although much is a frequently occurring word of many uses, not much research has been done on the different types of much as a negative polarity item (NPI). Therefore, in this study, the NPI...Show moreAlthough much is a frequently occurring word of many uses, not much research has been done on the different types of much as a negative polarity item (NPI). Therefore, in this study, the NPI tendency of two different types of much were compared: differential and adnominal much. Generally, research shows that much tends to be an NPI, whereas differential much prefers non-negation over negation contexts. Thus, the hypothesis is that there would be a strong tendency towards adnominal much occurring as an NPI, whereas differential much would not be an NPI. From the British National Corpus (BNC), 500-instance samples were analysed, and later compared with BNC searches for specific instances (that much, very much, etc.) in order to confirm their validity. These results were divided into NEG – in which negation took place – and POS – in which (implicit) negation did not take place. The results showed that NEG differential much only occurred in 5% of the instances, whereas NEG adnominal much occurred in 28% of the instances. When both much types were combined with modifiers (i.e., very much, that much, so much, etc.), they mostly occurred in a POS context. The bare adnominal much instances – without any modifiers – are almost equally divided among NEG (100) and POS (109) instances. Overall, the NEG instances did not have a preference for a certain genre in comparison to their POS counterparts. The results imply that differential much is not an NPI, whereas adnominal much may have a tendency to occur in NPI contexts.Show less
Nous n’avons pas pu constater une évolution dans l’emploi du subjonctif en français standard pendant les deux siècles et il n’est pas question de variabilité du subjonctif. En québécois, le...Show moreNous n’avons pas pu constater une évolution dans l’emploi du subjonctif en français standard pendant les deux siècles et il n’est pas question de variabilité du subjonctif. En québécois, le subjonctif est un vestige du passé, qui s’utilise seulement après quelques gouverneurs (non) verbaux ou après quelques expressions fixes. A côté de l’emploi du subjonctif après ces gouverneurs et expressions, le subjonctif s’emploie presque jamais en québécois, surtout pas dans les phrases où il est question d’une grande distance. En français standard, par contre, l’emploi du subjonctif est stable. Les francophones français emploient spontanément le subjonctif en accord avec la grammaire prescriptive. En parlant des différences dans l’emploi du subjonctif entre le français québécois et le français standard, nous pouvons conclure que le subjonctif est un phénomène intrinsèquement variable en français québécois, tandis que le subjonctif ne l’est pas en français standard.Show less
Pour pouvoir communiquer correctement dans une langue, les apprenants du français langue étrangère utilisent le plus souvent des manuels scolaires ou des ouvrages qui nous décrivent les règles...Show morePour pouvoir communiquer correctement dans une langue, les apprenants du français langue étrangère utilisent le plus souvent des manuels scolaires ou des ouvrages qui nous décrivent les règles de grammaire. Un néerlandophone apprenant la langue française est exposé aux différentes compétences linguistiques de la langue française telle que l’expression écrite, la compréhension orale, l’expression orale et la compréhension écrite. Au cours de l’apprentissage de ces compétences linguistiques, il est indispensable de tenir compte de la grammaire française.Un aspect de la grammaire souvent discuté est la formulation des questions partielles en français là où le néerlandais diffère beaucoup du français. Le néerlandais ne dispose que d’une seule structure pour la formation des questions partielles tandis que le français en compte plusieurs. C’est dans ce contexte qu’il est intéressant de savoir comment les jeunes élèves néerlandophones apprennent à formuler ces questions en français et surtout à observer l’effet du manuel scolaire.Show less